Dans la presse - 2009 -
2009


Entretien relatif à la programmation d’OrelSan au festival Le Rock dans tous ses états à Evreux le 27 juin 2009

L’association des Elu-e-s contre les violences faites aux femmes (ECVF) a défendu aujourd’hui Ségolène Royal, qui en tant que présidente de région avait souhaité que le rappeur controversé Orelsan ne se produise pas aux Francofolies de La Rochelle.

L’association des Elu-e-s contre les violences faites aux femmes (ECVF) a soutenu lundi la position "courageuse et honnête" de Ségolène Royal, qui en tant que présidente de région avait souhaité que le rappeur controversé Orelsan ne se produise pas aux Francofolies de La Rochelle. "Nous soutenons Ségolène Royal, dont nous estimons la position courageuse et politiquement honnête", indique l’ECVF dans un communiqué.

PARIS (AFP) — L’association des Elu-e-s contre les violences faites aux femmes (ECVF) a soutenu lundi la position "courageuse et honnête" de Ségolène Royal, qui en tant que présidente de région avait souhaité que le rappeur controversé Orelsan ne se produise pas aux Francofolies de La Rochelle.

POUR/CONTRE. Le fondateur de Reporters sans frontières et l’élue PS, membre de l’association Élues contre les violences faites aux femmes, ne sont pas d’accord sur la déprogrammation d’Orelsan du festival

Plusieurs associations de défense des femmes et des enfants maltraités se sont indignées mardi de la "complaisance" manifestée à l’égard du cinéaste Roman Polanski, arrêté en Suisse samedi sur mandat de la justice américaine pour une affaire de moeurs vieille de plus de trente ans.

L’association des élu(e)s contre les violences faites aux femmes dénonce la présence du rappeur à Tournefeuille. Le rappeur Orelsan : ses textes parlent de relations sentimentales sur fond de misère sociale.

Le concert du rappeur Orelsan prévu le 12 novembre prochain à Tournefeuille, près de Toulouse, suscite l’hostilité d’une association d’élus, rapporte samedi La Dépêche du Midi. L’association des Elu(e)s contre les violences faites aux femmes (ECVF), sans réclamer l’interdiction du concert, demande aux élus de "se positionner sur la présence du chanteur", dénonçant dans les textes d’Orelsan "un appel à la haine et au meurtre".