Campagnes - L’affaire OrelSan : ce qu’en pensent des artistes -
L’affaire OrelSan : ce qu’en pensent des artistes
Depuis mars 2009, nombreux artistes ont signé la pétition "Pas 1 seul euro d’argent public pour offrir une tribune à la violence faite aux femmes". Puis, suite à la déprogrammation d’OrelSan des Francofolies, vous avez aussi été plusieurs à prendre contact avec ECVF pour exprimer votre position sur cette affaire. Parce qu’élu/es et artistes peuvent agir ensemble (et non les un/es contre les autres) pour défendre la liberté dans une société égalitaire et solidaire, ECVF vous offre cet espace d’expression.
Envoyez vos textes à ecvf@ouvaton.org

Lettre ouverte à OrelSan

Je ne pouvais passer sous silence les débordements de ce jeune homme, qui sous le prétexte de dénoncer la trahison de sa compagne du moment, chante avec une réelle animosité, voire virulence et des mots dont l’usage se doit d’être prohibé, des propos machistes

La liberté d’expression, ou "freedom of speech", c’est derrière cet "épouvantail " que les Néo-nazis tentent de se justifier dans les pays démocratiques (comme aux USA).

OrelSan, rappeur interprétant des textes pour le moins violents à l’encontre de la gente féminine, a été déprogrammé des Francofolies de La Rochelle 2009 sous la pression de la présidente de région Poitou-Charentes, Ségolène Royal.

Extrait d’un entretien réalisé par la Nouvelle République